- Des Sujets Divers
- /
- Sujets divers
Athéisme et mécréance, source des crimes :
J’ai voulu traiter un sujet dont l’importance et la gravité apparaissent aux yeux des prêcheurs dans la voie du Seigneur. Il s’agit de la mécréance que vous constatez dans le monde contemporain, des crimes perpétrés, des meurtres commis aveuglément, des destructions sauvages, des populations civiles massacrées, des enfants sans défense égorgés… Mais quelle est le concept qui a engendré toute cette mécréance ? Comment ces criminels peuvent-ils rester sereins, tranquilles avec leurs consciences après avoir accompli leurs forfaits ? Ce phénomène est en fait la conséquence directe de l’athéisme. Ils se sentent alors invincibles, dans leur bon droit pour pouvoir mener une vie qui leur permet d’assouvir tous leurs désirs, et évoluer dans les plus hautes sphères du bien-être, du luxe et de l’extravagance, et profiter à outrance de tout ce qui est licite, et surtout de ce qui est interdit. Il est impossible que de tels forfaits puissent être perpétrés dans une situation de bon sens, de raison, sauf dans un contexte où prédomine une idée préconçue qu’il n’existe pas de Dieu. Qui a inspiré à ces athées l’idée qu’il n’existe pas de Dieu ? C’est un savant du nom de Charles Darwin qui croit que toutes les créatures, avec l’homme au sommet, sont la conséquence d’une évolution naturelle. Pour lui, la création a débuté avec des gaz, puis des matières, puis des créatures unicellulaires qui se sont scindées, ont évolué vers plus de complexité jusqu’à l’aboutissement à l’homme. Ainsi, il n’est plus question de Dieu ni d’au-delà ; ces criminels partent de l’idée absolue qu’il n’y a pas de Dieu.
Ainsi, tout étudiant ou chercheur qui ne possède pas la preuve formelle que cette théorie doit être foulée aux pieds ne peut être considéré comme étudiant en science sacrée ou profane ni ne peut prétendre devenir prêcheur.
Fondements de la théorie de Darwin et aspects de son incohérence :
1er incohérence: l’apparition de la cellule vivante à partir d’une matière
non vivante :
Je vous ai présenté dans mon dernier exposé que le principe de cette théorie consiste en l’apparition spontanée d’une cellule vivante à partir d’une matière non vivante, et les exemples choisis pour étayer ces allégations sont que les grenouilles apparaissent spontanément dans la vase, que les souris apparaissent spontanément dans des chiffons usagés, et que les asticots apparaissent dans la viande en décomposition. La science a fini par établir que cette conception et ces allégations ne méritent même pas qu’on s’y attarde, parce qu’elles sont tout simplement absurdes.
Il s’est avéré ensuite que la cellule vivante qui était considérée comme unité structurelle de base, est maintenant considérée comme unité fonctionnelle, plus encore, la première unité fonctionnelle agissant par elle-même ; un monde à part, très loin de l’idée simpliste qu’on s’imaginait en la définissant comme étant une membrane, un cytoplasme et un noyau, sans plus. De nombreuses recherches sont menées sur cette cellule, et des milliers d’ouvrages édités sur le sujet. Au sein du noyau ont été découvertes les sources de l’hérédité: les chromosomes et les gènes. Ce point a été étudié lors d’un exposé précédent dans lequel il est apparu que le gène recèle des informations programmées qui nécessitent à elles seules, l’équivalent d’un million de pages écrites ; tout cela niché dans des gènes logés dans le noyau, lui-même préservé au cœur de la cellule. Une série de gènes est présente dans chaque cellule, et chaque gène contient des informations programmées, de la voix fluette de l’enfant en bas âge qui devient grave à l’adolescence. Quand intervient l’activation de l’information relative à la voix grave de l’adolescent ? Elle intervient précisément à un âge prédéterminé, et chaque information subit l’activation à un moment qui lui a été prévu de manière précise et spécifique.
Nous avons vu que si l’on veut reporter par écrit les informations contenues dans les gènes et relatives à la forme de l’être humain, nous aurions besoin de pas moins d’un million de pages ; et que si l’on prenait l’équivalent du contenu d’une cuillère à café de gènes, l’ensemble des publications réalisées dans toutes les langues depuis l’apparition de l’imprimerie à nos jours ne suffirait pas à contenir la masse d’informations qui y sont stockées. Peut-on qualifier cela de hasard !?
2ème incohérence: les mécanismes fantaisistes de l’évolution appuyés
par des exemples :
En abordant les mécanismes fantaisistes de l’évolution selon la théorie de Darwin, nous observons chez l’ensemble de la communauté scientifique que le scénario retenu par les darwinistes et selon lequel toutes les créatures vivantes sont issues de façon spontanée de matières non vivantes est une vision en contradiction avec la réalité. Il a été également démontré qu’il n’existe aucun mécanisme à même de permettre une quelconque transformation ou mutation du patrimoine contenu dans une cellule en un organe complexe comme l’œil avec ses cent trente millions de cônes et de bâtonnets.
Il a été également démontré qu’il n’existe aucun mécanisme capable de transformer le patrimoine génétique contenu dans une cellule, en une créature complexe pluricellulaire, destinée, après multiplication, à se diversifier en des millions d’espèces.
Nous nous trouvons ainsi en présence de deux problèmes: d’abord la cellule vivante est issue d’une matière non vivante ; puis comment la cellule vivante unique est devenue un être complexe ?
Considérons ce qui suit : trois cent mille poils ; chaque poil est doté d’une veinule, d’une artériole, d’un nerf, d’un muscle, d’une glande sébacée, d’une glande dans laquelle s’effectue la coloration, appelée follicule pileux. Considérons également la rétine de l’œil avec ses cent trente millions de bâtonnets et de cônes. Comment ces deux éléments se sont-ils formés à partir d’une seule cellule en des composés aussi complexes ? Là se situe le problème.
Pour expliquer l’évolution, Darwin n’a présenté qu’un seul mécanisme qu’il dénomme « la sélection naturelle ». Nous pouvons nous rendre compte de l’importance accordée à ce concept dans son ouvrage intitulé « l’Origine des Espèces » qui développe cette idée de « sélection naturelle ». Il base ce concept sur l’idée de la survie des individus les plus adaptés et les mieux en harmonie avec les conditions naturelles ambiantes. C’est l’individu le plus fort, le mieux adapté au milieu qui survit.
L’exemple choisi pour illustrer ce phénomène est le suivant: au sein du troupeau menacé par un prédateur, c’est la gazelle qui court plus rapidement qui bénéficie des plus grandes chances de survie. Ainsi, c’est l’individu qui possède les meilleures aptitudes d’adaptation qui survit ; le reste est condamné à succomber. Ainsi, à terme, il ne subsiste plus dans le troupeau que les individus les plus forts et les plus rapides. Cependant, ce mécanisme ne prouve nullement qu’il y a évolution de la gazelle et sa transformation en une autre espèce. Ce qu’affirme Darwin : « Grace à sa vitesse, la gazelle échappe au danger. » Il affirme : « à l’origine ce n’était qu’une cellule qui est devenue gazelle. » Comment s’est opérée donc cette évolution ? En vérité, ce que permet la sélection naturelle, c’est uniquement l’élimination des individus faibles, malades ou handicapés, et la préservation et la perpétuation de l’espèce et de ses aptitudes. Par conséquent, la sélection naturelle ne dispose d’aucun mécanisme d’évolution et ne suffit nullement à expliquer le phénomène de l’évolution tel qu’exposé par Darwin.
Darwin lui-même était conscient de ce problème :
Darwin lui-même était conscient de ce problème, ce qui lui fait dire dans son ouvrage ‘l’Origine des Espèces’ : « Si aucune modification importante ne se produit, alors la sélection naturelle ne peut rien faire. » La sélection naturelle ne peut opérer qu’une élimination de l’individu faible qui ne peut s’adapter, qui présente un handicap et est par conséquent condamné à disparaître, alors qu’il affirme que tout a débuté à partir d’une cellule unique pour aboutir à un être complexe.
La théorie de la sélection naturelle ne suffit donc pas à expliquer le phénomène de l’évolution.
Sur le concept dénommé « modifications utiles » Darwin s’est profondément inspiré de son contemporain, le biologiste français Lamarck qui pensait que les modifications et les propriétés dont sont dotés les êtres vivants au cours de leur existence sont transmises à leur descendance. Lamarck était également convaincu que ce patrimoine s’accumule de génération en génération pour que s’opère un choix du caractère utile, ce qui permet l’apparition d’espèces nouvelles.
Darwin a ainsi découvert en Lamarck un maître qui affirme que la reproduction par accouplements entre les êtres vivants engendre des espèces nouvelles qui sont la conséquence d’une sélection naturelle et qui permettent et assurent l’évolution. Lamarck illustre cette idée et cite l’exemple de la girafe qui, selon lui, a connu une évolution à partir d’un ancêtre qui n’était qu’une gazelle. La girafe était donc à l’origine une simple gazelle, qui, à force de tendre le coup pour se saisir et se nourrir des feuilles sur les hautes branches des arbres, a vu son coup s’allonger progressivement au cours des générations.
Nous savons tous qu’un homme trapu restera trapu même s’il persiste à tendre le cou et à sauter en l’air, et ses différentes tentatives pour s’allonger resteront vaines.
D’après Lamarck donc, il a suffi à cette gazelle de tendre continuellement son cou pour se nourrir pour voir son cou s’allonger progressivement de génération en génération pour devenir en fin de compte une girafe. Lamarck va plus loin dans son raisonnement et affirme que de même, si on procède à la section des mains des membres d’une même famille, et ce, durant plusieurs générations, des descendants de cette famille naîtront à coup sûr sans mains !!! Autrement dit, si on décide de couper les mains à tous les membres d’une même famille sur cinq générations par exemple, le descendant suivant naîtra sans mains et ses descendants naîtront fatalement et à jamais sans mains.
Ce sont là des vues de l’esprit de personnes mentalement dérangées dont la théorie est encore en vigueur dans le monde entier. Il est facile de vérifier que toutes les encyclopédies dans le monde présentent encore au premier plan cette théorie de Darwin, et toutes méthodes et programmes scolaires et universitaires s’en inspirent. N’est-ce pas là le domaine de l’absurde !?
Quant à Darwin qui s’est inspiré de cette conception, il a avancé dans son ouvrage « l’Origine des Espèces » des idées encore plus absurdes puisqu’il prétend qu’à force de tentatives de pêcher dans les eaux pour se nourrir, des ours ont fini par se transformer en baleines !!! Imaginez des ours qui ont pris l’habitude de pêcher en mer pour se nourrir ; ils ont tout simplement fini par rester dans l’eau et sont devenus des baleines après avoir abandonné leur fourrure et gardé une peau luisante. Leur poids est également passé d’une centaine de kilogrammes à cent cinquante tonnes que représente la masse d’une baleine bleue !!!
Il est bien connu que Darwin et Lamarck partageaient les mêmes vues. Ainsi, toutes leurs conceptions étaient en complète contradiction avec les lois de la biologie, mais leur but était la dénégation, le désaveu de tous les livres sacrés et l’abolition de toutes les religions. Nous sommes donc en présence d’une faute d’ordre moral et non scientifique. C’est vraiment ridicule, parce-que même un enfant ne peut croire que la girafe était à l’origine une gazelle, et la baleine bleue un ours !!! Tout cela pour être en harmonie avec l’évolution et pour dire qu’il n’y a pas de Dieu, mais qu’il y avait une cellule unique surgie spontanément d’une matière non vivante, qu’une souris apparaît sur des chiffons contenant des graines, qu’une grenouille surgit de la boue et que les asticots surgissent spontanément de la viande en décomposition. Tous ces exemples ont servi de base à la théorie objet de l’ouvrage « l’Origine des Espèces »
Je vous ai déjà fait observer qu’un homme peut accepter d’emblée le faux parce qu’il le conforte, et qu’il rejette d’emblée le vrai, parce qu’il le gêne quelque part ; et que la croyance des gens ne dépend nullement du vrai ou du faux.
Darwin et Lamarck se sont ainsi trompés parce que leurs allégations sont en complète contradiction avec toutes les lois les plus importantes de la biologie ; parce que plusieurs spécialités scientifiques importantes telles que la génétique, la microbiologie et la chimie organique n’existaient pas encore, comme n’étaient pas encore connues les lois de l’hérédité. Cette théorie datant de 1800 était très ancienne, et Darwin et Lamarck étaient convaincus que les caractères héréditaires se transmettaient par le sang. Dans cet environnement de retard scientifique de l’époque, les scénarios darwiniens fondés sur des chimères et très loin de la réalité n’étaient nullement sérieux malgré l’immense écho qu’a connu la théorie de Darwin.
La renommée que connut l’ouvrage de Darwin n’était pas due à une réalité scientifique qui y était traitée, mais uniquement pour ses positions affichées contre l’église et l’hostilité qu’il montrait en direction de l’église tyrannique de l’époque du Moyen-âge. Ainsi, était accepté d’emblée toute action destinée à saper le rôle de l’église ; comme si était déclarée ouvertement la formule : « l’ennemi de mon ennemi est mon ami.»
Le malaise de Darwin par rapport à la fragilité des fondements :
En fait, Darwin était lui-même soucieux. Pourquoi ce malaise ? Parce qu’il était conscient de la faiblesse des fondements de sa théorie. Il est connu aujourd’hui qu’il n’y a pas plus convaincu de la fausseté de la théorie de Darwin que Darwin lui-même. C’est pour cela qu’il déclare dans le chapitre manquant de son ouvrage où il reconnait les problèmes liés à sa théorie : « S’il s’avère qu’il est impossible d’avoir un organe complexe à partir de l’accumulation des petites modifications, ma théorie s’effondrera sans nul doute. Ce sont les paroles de Darwin lui-même. Ainsi, Darwin reconnait que si sa théorie expliquant l’apparition d’un être vivant à partir de l’accumulation des petites modifications intervenues dans le temps n’est pas confirmée, elle s’écroulera sans le moindre doute.
Les lois de l’hérédité portent le coup de grâce à la théorie de Darwin :
Nous avons vu que la gazelle est devenue girafe et que l’ours s’est transformé en baleine bleue … En fait, les craintes de Darwin se révélèrent fondées quelques années seulement après sa disparition. En effet, les lois de l’hérédité découvertes par le moine botaniste autrichien Johann Gregor Mendel détruisirent les thèses de Darwin et de Lamarck. En effet, les recherches en matière d’hérédité qui ont connu un grand développement depuis le début du vingtième siècle, ont confirmé que les caractères acquis ne sont pas transmissibles héréditairement et que seuls sont transmissibles les caractères innés présents dans les gènes ; ce qui constitue un phénomène rigoureux et très précis.
Nous avons également appris que si l’on coupe les mains à un individu qu’on marie ensuite et que si l’on coupe les mains à ses enfants et aux enfants de ces enfants jusqu’à la quatrième génération, les descendants suivants naitront sans mains, ce qui est absurde et manque de sérieux.
En fait, la main ne se forme pas à partir de la (forme) intrinsèque de l’être, mais à partir de ses gènes ; des gènes programmés spécifiquement pour reproduire la main. C’est pour cela que si l’on coupe un million de mains à une lignée d’individus ; lorsque le dernier se reproduit, il engendrera un descendant avec des mains.
Pourtant, cet ouvrage constitue l’une des œuvres majeures de notre temps. Il figure en bonne place dans toutes les universités européennes et américaines ; il occupe une place de choix dans nos programmes ; et nos enfants s’imprègnent des idées qu’il véhicule, à savoir: notre ancêtre était un singe !!!
Ne m’en voulez-pas ! Je l’avoue ! J’ai cru en cette théorie alors que je la combats aujourd’hui. Oui, j’y ai cru, mais dans le sens inverse. L’être humain était homme, puis il est devenu singe. Il n’a jamais été d’abord un singe pour devenir homme ; il était homme et est devenu singe par la suite ! Qu’est-ce qu’un singe et qu’est-ce qu’un porc ? La principale préoccupation du porc est son ventre, et celle du singe son instinct sexuel. Quelle est la signification du verset :
« … et ceux dont il a fait des singes et des porcs… »
Ma compréhension de ce verset est le fruit d’une profonde réflexion. Je ne peux croire qu’un homme puisse se transformer réellement en singe ou en porc ; mais si la préoccupation essentielle de cet homme devient son ventre et son sexe, il devient une sorte d’hybride de singe et de porc. Et c’est ainsi que le monde est devenu une planète de singes et de porcs, et rien d’autre… parce que l’homme ne connaît plus la clémence ; s’il rencontre un faible, il le tue et se débarrasse de sa présence… alors que le croyant ne peut même pas écraser une fourmi au moment où des peuples entiers sont humiliés, massacrés, leurs richesses sont pillées… Cette mécréance prend sa source dans une idéologie, celle véhiculée par la théorie de Darwin.
Nous avons vu que l’allégation selon laquelle les caractères acquis au cours de l’existence se transmettent d’une génération et sont la cause de l’apparition d’espèces nouvelles est chose impossible. C’est pour cette raison que le mécanisme de la sélection naturelle avancé par Darwin comme mécanisme essentiel est incapable de générer des transformations ; autrement dit, la sélection naturelle ne possède aucun pouvoir en matière d’évolution. C’est ainsi que s’est effondrée au début du vingtième siècle la théorie de l’évolution exposée par Darwin. Les efforts fournis durant tout le vingtième siècle par les adeptes de la théorie de l’évolution n’ont abouti qu’à la conclusion qu’il est définitivement prouvé que la sélection naturelle ne possède aucun pouvoir en matière d’évolution.
Il est à remarquer que ceux qui ont critiqué cette théorie sont d’éminents savants d’Europe et d’Amérique qui ont mené leurs critiques uniquement à l’aide de preuves objectives.
La signification première de la théorie de la sélection naturelle est que l’animal ou l’être vivant le plus fort et le plus adapté à son milieu est celui qui reste en vie.
Concernant l’accouplement et la reproduction avec leurs nombreux effets, leur pouvoir de générer un individu d’une nouvelle espèce est également impossible, et tous les efforts entrepris dans ce sens ont été suivis d’échecs.
Le savant anglais Gary E. Parker, lui-même évolutionniste, a reconnu : « vérifiez maintenant ; personne ne peut faire évoluer un être vivant vers une nouvelle espèce au moyen de la sélection naturelle, et personne ne peut arriver à la plus petite réalisation dans ce sens, défi qui constitue le sujet le plus débattu dans la philosophie néo-darwinienne. »
La science de la fin du vingtième siècle a révélé que les êtres vivants disposent d’organes fonctionnant dans le cadre de systèmes d’interactions d’une très grande complexité ; de sorte que s’il apparaît une insuffisance chez l’un d’eux, ou dans une partie de l’un d’eux, ils ne peuvent plus assurer leurs fonctions ; c’est ce phénomène qu’on désigne par « qualités non réductibles » qui confirme que ces organes et ce milieu sont apparus conjointement et simultanément sans aucune carence. Cette réalité a fini par miner l’édifice illusoire érigé par la théorie de Darwin. Cela signifie que Dieu a créé un biotope propice pour l’existence des animaux créés et appelés à y vivre. Cette vérité à fini par détruire l’œuvre chimérique darwinienne qui affirme que la vie a évolué à partir de modifications minimes survenues au cours des âges.
3ème incohérence: le mécanisme des mutations :
Une fois acquise la certitude que le mécanisme de la sélection naturelle présenté par Darwin ne possède aucune propriété évolutive, cet échec a poussé les évolutionnistes à apporter un changement radical à la théorie en ajoutant au concept de la sélection naturelle un mécanisme nouveau appelé mécanisme de mutation. La première notion d’apparition du vivant à partir de matière non vivante ayant échoué ; la deuxième notion relative à la sélection naturelle ayant également échoué, une troisième notion est introduite sous le nom de mécanisme de mutation.
Les mutations constituent des modifications, des distorsions affectant les molécules d’ADN et y occasionnent des développements ou des modifications, des altérations ou des dégâts qui aboutissent à la formation d’une nouvelle créature, comme résultat de son exposition à des influences externes nocives tels que les radiations ou les produits chimiques.
Les évolutionnistes ont avancé l’idée que les distinctions entre les différentes créatures vivantes sont le résultat de ces mutations. Cependant, les mutations ne produisent que des dégâts sur le patrimoine d’informations contenues dans l’ADN, ce qui signifie qu’elles vont causer des dommages à la créature vivante ; des mutations utiles n’ayant jamais été observées dans la nature, et toutes celles qui ont été observées étant responsables de distorsions. Et dire que Darwin parlait de mutations jouant un rôle propulsif pouvant transformer une gazelle en girafe. Le fait est qu’il n’existe pas de mutation de cette catégorie, celles observées à ce jour étant destructrices et responsables de malformations des créatures vivantes.
Il est par conséquent impossible qu’une créature vivante acquiert quelque organe nouveau du fait de la mutation ; mécanisme totalement incapable d’être à l’origine de l’apparition d’une aile supplémentaire chez un oiseau ou un reptile, ou une troisième main ou une troisième jambe par exemple, de sorte que la créature vivante puisse se tenir debout, mais sans pouvoir assurer son équilibre. Le mécanisme de la mutation est également incapable de doter d’un œil une créature vivante naturellement aveugle, menant normalement son existence sans avoir besoin d’organes de la vision.
Pour obtenir des espèces de créatures vivantes différentes au moyen de mécanismes de la mutation utile, les néo-évolutionnistes ont exposé différentes créatures vivantes à de multiples expériences, dont les radiations, et ce, pendant des dizaines d’années ; les résultats ont a chaque fois consisté en des êtres atteints de malformations aux apparences monstrueuses, des créatures stériles ou gravement handicapées.
Ainsi, la première notion qui avance qu’un être vivant apparait d’une matière non vivante ; la seconde qui met en avant le mécanisme de la sélection naturelle où l’être vivant le plus fort subsiste alors que le plus faible est condamné à disparaître ; et le second volet de la deuxième notion qui veut que l’évolution soit la conséquence d’accouplements continus aboutissant à de nouvelles générations ; et la troisième notion relative à la mutation qui s’avère être la cause d’altérations et de malformations graves chez la créature vivante, et jamais d’apparition d’organes nouveaux ; toutes ces notions s’avèrent fausses. La dernière, c'est-à-dire le mécanisme de la mutation est la cause d’altérations et de destructions du patrimoine génétique prodigieux préservé dans les gènes de l’ADN de la créature vivante qui, altéré, aboutit à une créature monstrueuse. C’est pour ces raisons que le professeur Dawkins, un célèbre évolutionniste convaincu, se trouve devant un vrai dilemme lorsqu’on lui demande si le mécanisme de la mutation a jamais été d’une quelconque utilité dans l’évolution de la structure génique de n’importe quelle créature vivante. La mutation est-elle, en fin de compte un mécanisme destructeur ou bien facteur de modifications utiles pour l’être vivant ?
La réalité est pourtant très claire. Le phénomène de la vie est extrêmement complexe et il est basé sur une conception et des systèmes également très complexes, de sorte qu’il est pratiquement impossible d’y imaginer l’apparition de quelque chose du simple fait du hasard ou de la coïncidence. De même qu’il est impensable de voir apparaître spontanément des composants d’une horloge mécanique ; mais que ces composants font immédiatement penser à un concepteur connaisseur et spécialiste qui a procédé à leur fabrication. De même les êtres vivants possèdent des systèmes et des structures précises qui prouvent qu’il existe un concepteur qui les a créés du néant.
Considérons un poussin à l’intérieur d’un œuf qui voit pousser au bout de son bec une protubérance dure comme une aiguille qui lui sert à briser la coquille afin de se libérer et apparaître à la vie. Ce qui est étonnant, c’est qu’une fois sorti de la coquille de l’œuf, cette protubérance disparaît naturellement. Quelle main a procédé à ce phénomène ?!
Des mécanismes qui accompagnent l’apparition d’un bébé:
Avec la naissance d’un bébé apparaît un cartilage très rigide pour que le nourrisson n’étouffe pas durant la tétée. Avec l’âge cet organe s’amollit. Il devrait être mou à l’origine puis devenir rigide. Ici c’est le contraire. Au niveau de la rate du nouveau né, apparaît une petite quantité de fer qui lui servira pendant deux années, tout simplement parce que le lait maternel ne contient pas de fer alors que le bébé en a grand besoin. Qui a prévu dans la rate du bébé une quantité de fer suffisante pendant deux années jusqu’à ce qu’il puisse se nourrir autrement qu’au sein de sa mère ?
A la naissance de ce bébé, si ses intestins ne contenaient pas une matière liquide, ils se colleraient et deviendraient comme un simple ruban ; c’est pourquoi Dieu les a pourvus d’une matière lubrifiante destinée à empêcher toute obstruction et tout développement sous forme de ruban collé.
Considérons maintenant un nourrisson à deux jours de sa naissance. Le lait maternel n’est pas un lait onctueux ; il est appelé matière solvant la graisse. Au courant des deux premiers jours de la vie, les selles de bébé sont sombres, pareilles à de la graisse fondue. Ce phénomène est-il apparu tout seul ?!
Considérons encore un nourrisson qui est né doté d’un mécanisme très complexe appelé mécanisme de succion. C’est réellement un mécanisme complexe : il applique sa bouche sur le téton du sein de sa mère, s’assure de la fermeture de la bouche, et commence à aspirer l’air. Le monde entier peut-il apprendre à un nouveau né comment téter le sein de sa mère. Il ne le pourrait pas s’il n’était pas doté d’un mécanisme précis et complet. Ce mécanisme de succion est appelé par les spécialistes « réflexe de succion.»
Considérons encore le phénomène suivant : il existe au niveau du cœur du fœtus encore dans le ventre de sa mère un orifice. Le fœtus n’a pas encore besoin de respirer. Cet orifice relie les oreillettes pour permettre au sang de circuler librement entre elles et prendre un raccourci au lieu de monter vers les poumons pour s’oxygéner. Cet orifice est appelé « trou de Botal » ; il est colmaté à la naissance du bébé avec les première bouffées d’air du réflexe respiratoire. S’il n’est pas colmaté, le bébé est atteint de la maladie dite « bleu » qui lui donne une teinte bleutée et qui le condamne au bout de quelques années. Est-ce que l’orifice de Botal est ouvert par hasard ? Est-ce que le réflexe de succion est dû au hasard ? Est-ce que le fer présent dans la rate est également dû au hasard ?
L’ensemble de la création est l’œuvre d’un Créateur Puissant..
Par Dieu, Lorsqu’on pousse la réflexion sur la création des cieux et de la Terre, on se retrouve face à la puissance de Dieu.
C’est pour cette raison que le Professeur Richard Dawkins, un des plus célèbres évolutionnistes se trouve face à un dilemme lorsqu’on lui demande si le mécanisme de la mutation a jamais contribué à l’évolution de la structure génique de quelque créature… La réalité est limpide. Tout contribue à démontrer qu’il y a un Créateur qui a tout façonné et ordonné des structures complexes chez le vivant. Il en est connaisseur et expert de tous les aspects de la vie.
L’univers dans son ensemble constitue une œuvre de création d’une extrême précision, et la science révèle à chaque fois le pouvoir infini du Créateur en sa création. Est-ce que tout cela peut être considéré comme le résultat du hasard ? Est-ce que la fleur est le fruit du hasard ? Est-ce que les galaxies et leurs milliards d’étoiles peuvent être considérés comme la conséquence du hasard ? En fait, la création de l’être humain à elle seule démontre manifestement cette réalité que la théorie évolutionniste veut cacher au monde.
« … Gloire à Dieu, le meilleur des Créateurs. »
« C’est lui Dieu, le Créateur, Celui qui donne un commencement à toute chose, Celui qui donne les formes... »
Personnellement, je pense que la réflexion et le raisonnement sur la création des cieux et de la Terre constituent le chemin le plus court vers la voie de Dieu et la porte la plus grande pour accéder à Dieu. Considérons un instant ces versets sublimes :
« En vérité, dans la création des cieux et de la Terre et dans l’alternance de la nuit et du jour, il y a certes, des signes pour ceux qui sont doués d’intelligence : ceux qui, debout, assis ou étendus sur le côté, invoquent Dieu et méditent sur la création des cieux et de la Terre en disant: Seigneur, Tu n’as pas créé tout cela en vain ; gloire à Toi ; préserve nous du châtiment du feu de l’enfer. »
Effets de la croyance en Dieu et au Dernier Jour :
La mécréance s’inspire de la théorie de Darwin qui nie l’existence du Créateur, de l’au-delà, du Jugement Dernier, des tourments, du paradis, de l’enfer, du jour de la rétribution et la notion d’oppresseur et d’oppressé.
C’est une théorie qui veut que le fort peut oppresser et vivre comme il l’entend. C’est devenu la logique des hommes, et c’est ce qui se passe dans le monde entier. C’est pourquoi il est indispensable que l’homme opère une révolution mentale. Si l’homme prend seulement en compte l’existence de Dieu, s’il commet une erreur ou une faute, il sait qu’il existe un Dieu qui est au courant des faits et gestes de chacune de ses créatures ; qu’Il demandera des comptes et qu’Il sévira. C’est pourquoi la foi est essentielle, vitale ; et sans foi…
« Or, ceux qui ne croient pas en l’au-delà sont bien écartés de ce chemin. »
Je vous rappelle un point sur la foi, sur la croyance: croyance en Dieu et croyance au Dernier Jour. Il n’y a pas deux piliers de la foi qui sont en corrélation comme ces deux piliers dans le Saint Coran. En effet, il ne suffit pas de croire en Dieu ; il est indispensable de croire en un jugement très pointilleux ; car qu’est ce qui guide le croyant ? C’est sa crainte de son Seigneur. Qu’est-ce qui retient le croyant ? C’est sa crainte du jugement et de la rétribution. Par contre, si l’homme ne croit en rien, il est inutile qu’il se surveille et qu’il se corrige. C’est pourquoi, Dieu Tout Puissant a dit :
« Et quant à celui qui se montre avare, se dispense de l’adoration de Dieu et traite de mensonge la plus belle récompense… »
Il traite de mensonge la plus belle récompense et se dispense de l’obéissance à Dieu, il construit sa vie sur la manière de prélever et arracher et non sur celle de donner et offrir. C’est pourquoi on peut diviser l’humanité en deux groupes: l’un qui croit en l’au-delà, et l’autre non. Celui qui y croit se surveille et reste sur le droit chemin, craint de désobéir à son Seigneur et consacre sa vie à donner et à offrir, autrement dit, il s’interdit de nuire aux autres créatures et leur offre de ce que Dieu lui a offert. L’autre par contre ; du fait qu’il ne croit pas, n’a cure d’obéir, et construit son existence sur la façon de prélever et de nuire à son entourage.
Cette théorie conforte le monde occidental dans son attitude :
Notre religion est sublime ; notre Noble Coran embrasse toutes choses, cependant, nous constatons parmi les gens qu’il existe des idées fausses, des erreurs, une faiblesse, des agressions, des atteintes à la réputation des musulmans, du terrorisme, de la pauvreté, du sous-développement qui ont fait que le musulman a perdu confiance en soi et a perdu son assurance. Concernant l’ouvrage ‘l’Origine des Espèces’, tout n’est que paroles vides ; tout a été traduit et ce n’est assurément pas l’œuvre d’un musulman.
C’est une œuvre majeure dans le monde contemporain. Pourquoi l’occident s’accroche-t-il encore à cette théorie ? Tout simplement parce qu’elle le conforte. Si quelqu’un comprend qu’il existe bien une intercession, la signification naïve (comprise à tort) de cette intercession est très commode.
« Mon intercession couvrira ceux de ma communauté qui ont commis les péchés capitaux. »
Aussi, tu peux commettre autant d’impairs que tu peux ! C’est une conception très réconfortante. Les juifs dirent :
« Le feu de l’enfer ne nous touchera que pour quelques jours comptés. »
Ce sont également des paroles réconfortantes. L’être humain s’accroche souvent à des concepts inexacts, mais qui confortent. Le courage, c’est de rechercher la vérité, même si elle est amère ; même si elle fait peur, car la vérité, même amère, est mille fois meilleure que l’illusion endormeuse.
C’est cette théorie qui fait comprendre pourquoi l’occident est criminel ; comment il vit sur les ruines des peuples ; pourquoi 90% des richesses du globe sont aux mains de 10% des habitants de la Terre. Une simple toile de Picasso vaut 59 millions de dollars. Leur fortune est si colossale que ça ? Quel est le montant des richesses des peuples qu’ils ont pillés ? La raison ne peut même pas concevoir ce qu’il leur reste comme richesses ! Et avec tout ça ils sont sereins. Le terrorisme est apparu et leur a brouillé les cartes, et c’est pourquoi ils veulent en finir avec tout ce qui est musulman, et ils ne permettront à aucun musulman de faire quoi que ce soit.